Madame de Staël a écrit :
On dirait que l'âme des justes donne comme les fleurs, plus de parfums vers le soir.
Freezia nous a demandé quel était notre parfum
Mon parfum d'été
Mon parfum d'hiver
Le Moulin de Landèves
Extrait de la chanson de Bourvil - La Tendresse
Il y a des yeux qui reçoivent la lumière et il y a des yeux qui la donnent
Paul Claudel
Les seuls beaux yeux sont ceux qui vous regardent avec tendresse
Coco Chanel
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Bannière offerte par
Jean-Yves,
l'Artiste aux centaines de Pastels
et réalisée le 21/11/09, avec mes préférences en
livres :
A la recherche du temps perdu - Marcel PROUST
Le Crève-Cévenne - J.P. CHABROL
Les oeuvres complètes d'Arthur RIMBAUD
Le Pain rouge - M.P. ARMAND
Récits parisiens - G de MAUPASSANT
Tableaux :
Les nénuphars de Claude Monet
Vase aux pivoines sur piedouche de Edouard Manet
Joyous Mémoiries de Daeni Pino
Inspiration Renoir de Jean-Yves
Sous-bois provençal de Paul Cézanne
Madame de Staël a écrit :
On dirait que l'âme des justes donne comme les fleurs, plus de parfums vers le soir.
Freezia nous a demandé quel était notre parfum
Mon parfum d'été
Comme je vous l'ai déjà dit J'AIME L'AUTOMNE
Voici un poème rempli de senteurs de cette belle saison
PARFUM D'AUTOMNE de André LAFON
L'automne a parfumé l'office et le cellier
Il y a de hauts tas de pommes qui murissent
Dans celui-ci, près de fagots de bois liés
De vime jaune et bien tordu, sous lesquels crissent
Les grillons rapportés avec eux des fourrés.
Contre le mur où pend la toile d'araignée,
Les sacs tout bosselés de noix sont préparés
Pour le marché ; dans ce coin les marrons lustrés
Se mêlent à la pomme de terre imprégnée
De l'odeur du sillon mouillé. On sent le pin
On sent aussi le cidre et la feuille séchée,
Et l'on dirait rêvant captive à la croisée
L'âme des bois d'été, des champs et des chemins
A l'office, des soins prudents de ménagère
Ont mis les coings duveteux, couleur de citron,
Sentant fort, à mûrir au bord de l''étagère,
Devant le cuivre clair des antiques chaudrons.
Sur l'évier luisent la grande terre verte
Et la cruche vernie où tremble l'eau du puits ;
La treille pleut au seuil de la porte entr'ouverte
Et, dans cette senteur pénétrante de fruits
Flottant par la maison que le froid pelotonne
Comme une vieille rapinant autour de soi,
On voit sous la rousseur des branches qui frissonnent
Mourir l'année avec la vie au coeur des bois
et voici d'autres roses, brodées celles-ci
et j'en ai fait un coussin
pour l'anniversaire de ma nièce Héloïse qui va avoir 19 ans samedi
voici la petit cadeau que je lui ai brodé et cousu
c'est un sac à lingerie mais elle mettra ce qu'elle veut dedans !!!
délicieuse et trés simple
un régal, je l'ai fait pour ce dimanche midi
livre de la collection - Petits pratiques cuisIne - HACHETTE PRATIQUE
Octobre 1956 - Photo traditionnelle avec la carte de la France
Octobre 1958 - sur les bancs (en bois) de l'école
En Mai j'ai commencé le marquoir - Terre de France - d'Annick Abrial - et depuis quelques mois je l'ai abandonné, beaucoup d'autres choses à faire, plus urgentes, cadeaux mariage, naissance, échanges ...
En ce début Septembre, c'est la rentrée, même pour le point-compté, donc au boulot, motivée, motivée